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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 18:19
 
Réitération

Inspiration subite
comme un mouvement
une idée géniale
un mélange de force et de conviction

Une ivresse
qui surgit de l'extérieur

La plus belle amoureuse philosophique
dans un transport de ce qu'on écoute
Transcendance !

Propension à l'imagination
Comme un long gémissement mélancolique
dans un monde qu'on ne sait pas

Une réception en soi
dans une impulsion qui nous arrache à la torpeur
haut degré d'intensité !

Une porosité de son être
pour ne pas être encombré par son moi

Un crâne ouvert
pour un sentiment de légèreté enfoui
dans une posture égotiste

Se défaire
être dans un accueil
une générosité qui advient

Pensée ancrée
dans un corps qui se dilate

Pensée qui devient
Ma pensée à autrui
Ma pensée dans l'accueil des autres
 
 

La dépose de soi dans l'inspiration
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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 00:00

 

 

 

 

Les chemins de la liberté ne s'empruntent pas dans le mensonge.

Si le besoin anxieux d'obtenir la confiance des autres n'est pas encore atteinte aujourd'hui..

Nous en sommes encore à nous débattre comme dans "Les mains sales" de Sartre...

L'unité qui semblerait introduire son visage dans cette tragédie Japonnaise n'est autre qu'une satire individuelle que personnalise l'homme inhabile à la véritable action :

CELLE D'ETRE CLAIR !

Le mensonge s'étire alors une fois de plus d'avant en arrière, comme un viol de nos espaces les plus précieux.

Alors cette fable de l'homme décrypté par Sartre tient aujourd'hui, une fois de plus son rôle dans l'hésitation de tuer, puis une fois cette action dépassée et le meurtre accompli, le remord déchiré des aveux...

Des aveux de hasard et non de volonté !

 

 

 




 

Ce n'est pas tant l'odeur des charniers qui dérange le plus, mais bel et bien ce gouffre que nous avons creusé pour y plonger des corps inertes et sans vie.

 

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9 novembre 2012 5 09 /11 /novembre /2012 18:41

http://img87.xooimage.com/files/a/c/7/img_4490-3968184.jpg

 

 

 

I'll never let you see
me crying the way the broken world is going on
I'll never let you see
me washing away my misery
I'll never let you see
me hunting high and low broking myself to piece
I'll never let you see
me riding like the wind forgotten each sad places
I'll never let you see
driving me wild, all smoke getting in my eyes
I'll never let you see
me thinking my show over and nothing to find out the back door
I'll never let you see
so far away, so lonely, straight to my heart, storms comming
I'll never let you see
God turning lights down low and never as good as the first time
I'll never let you see
I'll never let you see
Much more that you could find somewhere over the rainbow

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6 novembre 2012 2 06 /11 /novembre /2012 00:00

    http://sphotos-e.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-ash3/s480x480/599791_4159527824060_1010504939_n.jpg

Photo de François Beltran

 

 



    
 

 

 

  

 

Aussi loin que le regard puisse se poser et garder son


équilibre




dans cette fantasmagorie de nuances et de couleurs


 récifales..


Que ma pensée sublime dans des randonnées de reliefs ruiniformes


d'où jaillissent jardin et canaux enlacés..


Aussi loin et aussi fort que je puisse aimer ce visage qui


 joue les effets


trompe l'oeil et m
égare de l'or au rose, du grenat à

l'orangé,


 
de l'émeraude au bleu..



En moi, à jamais gravé au plus profond des marnes de

 mon coeur


Ven
ise

Je ne t'oublierai !



 
© 2013

 

 

 

 

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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 00:00

http://3.bp.blogspot.com/_f0Vv-Rjyzls/TLs3owrIyuI/AAAAAAAAABI/xcS6lktofRQ/s1600/ovule+et+les+spermes.jpg

 

la pensée est tout ce qui est...
la connaissance tout ce qui existe (soi)

un réel définit un fait...comme acte conscient d'une idée.
toute connaissance est représentative d'une réalité.

"connaître donne un sens à la réalité"

la pensée est unifiée par son principe,sa réalité.
le fait est une médiation entre réalité et pensée...
toute l'activité de la pensée apparaît ainsi relative
à sa transmission,en réalité.


'énergie,communication,service'

la réalité ou l'idée conceptuelle d'un connu.
une réalité,en l'absolu,est la définition d'une image
en l'idée même de forme,et,
dont l'existence est libre de toute résistance,
en terme viable d'acceptation.(nature)
la forme est une idée-concept avec laquelle
la notion d'impossible n'est pas possible,
formellement...
la réalité est l'activité consciente d'une forme pensée,
un principe actif.
la réalisation est l'action de penser,
la représentation d'une idée.

"la condition,comme la volonté,est l'action du connaitre"

la condition est relative au temps d'un espace défini.

un espace cellulaire de forme communicante...

je fais l'hypothèse que la conscience
n'est pas essentiellement à caractériser
comme la connaissance se prenant pour objet,
mais comme la conscience,en général et par principe,
se prenant pour image de soi.

"toute forme de conscience est à l'image de sa connaissance"

tout est possible,tout est pensée...

l'hypothèse de travail est donc :
tout est hypothèse de travail.
probable théorie du tout...

je m'attache au principe actif selon lequel
une unité de conscience fragmentée crée
une forme de réalité depuis sa pensée unifiante,
et que,par conséquence,
la médiation induit une défragmentation consciente.

la communication en service est une réflexion hypostatique.

au commencement il y a la pensée...
l'âme est au monde
le mentalisme d'une dimension expérimentale.
la matrice est une condition analogique
à la possibilité de se reconnaître en la matière.
donner un sens à la légèreté...(rire)
le fait est que le monologue de la conscience
conduit l'existant et que
l'être est connaissant de cause induite (polarité).

je suggère que l'inconscience soit le non-sens répressif
d'une cause non-consciente...

étant convenu que la finalité est en la définition probable d'un autre possible...(idéalisme).

(le subconscient est inductif au prédéterminisme ?)

..........

de la modélisation d'un jeu relatif à soi-même...

de l'idée conceptuelle d'un principe égalitaire
en forme pensée:
un être en jeu...

Le mouvement de la pensée commence
dans la création du jeu.
Penser le je est l'activité générique créatrice
du mouvement de la pensée.
Pensée pensante...
et le je identifie l'idée de sa réalité.
un jeu identique à l'idée de se réaliser,
saveur ontologique...

L'action du je est le jeu de l'action.
Vie et connaissance,comme liberté et amour,
sont des notions d'équivalence
avec lesquels se jouent la perception du je.
Le je idéal donne identité au sens réel de formé...
il en est l'acteur pensant.

La communication est le service en situation...

L'action de l'idée en jeu unifie la pensée du je,
une sphère d'initiative cordiale.

Les jugements,de valeur symbolique,sont des croyances
en prévision d'un fait conforme(attaché)à sa compréhension.

en l'idée du concept...de la notion réelle d'un dessein.

L'aliénation au jeu est sa ritualisation
(ordre des choses,dissociation),
puis son simulacre en la dissension(illusion,séparation,matière);
au moment où le jeu résiste pour sa survie...
je suggère sa méconnaissance.
C'est la leçon compensatoire du jeu:
la connaissance à l'entendement uni vers elle-même.

La causalité du jeu est son acceptation.
La finalité du jeu est son intégration.
La conséquence du jeu est sa définition.
mon tout est sa connaissance.
....................

ce moment de prise de conscience courant vers sa réalité
est cette idée même où
la conscience devient mémoire de son contenu,
et justement,où elle se rend elle-même...

conceptus,
" action de contenir, de recevoir ", " réunion, procréation "

Au plaisir de communiquer

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4 novembre 2012 7 04 /11 /novembre /2012 19:08

http://us.123rf.com/400wm/400/400/justinb/justinb1007/justinb100700007/7290137-jesus-sur-la-croix-tendu.jpg

 

 

Mysticisme de moi qui parfois disperse la conscience de sa personnalité dans un sentiment confus de l'être universel.

 

Je sens bien qu'il y a quelque chose en moi qui  m'arrache littéralement de la condition humaine

 

 

Mysiticisme de moi qui se prosterne devant l'idée d'un dieu, d'un ange qui accepteraient la loi scandaleuse de la souffrance et la mort injuste.

 

Je sens bien qu'il y a quelque chose en moi qui  m'enchaîne littéralement au "pas de force, ni de vraie vie sans certitude, sans hantise de la vanité du monde"

 

Mysticisme de moi qui se révolte contre tout ce qui est apaisement dans l'illusion, évasion...Pour résumer : la vie qui nous est donnée !

 

Je sens bien qu'il y a quelque chose en moi qui cherche littéralement dans le non sens de vivre un moyen d'inventer un sens à la vie, à travers l'épouvante, un bonheur certain.

 

Je pourrais continuer ainsi longtemps à me mystigris mais je me sais capable de déranger l'expression même de la vie et de la forme la plus simple de l'être, celles de l'humanité présente.

Et oui, je parle de toi là, celui qui me lis : un homme figé pour l'éternité dans une forme pour laquelle il n'y a plus de corrections, plus de compensations ou si peu.

 

L'homme du 21ème siècle est bien à ce qu'il fait.

 

Rendu du jugement

 

L'homme ne doit pas être jugé sur cette pesée que sa volonté fait subir à l'univers mais bel et bien SUR CES ACTES.

 

 

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25 octobre 2012 4 25 /10 /octobre /2012 08:18

 

 

Quel dommage de combler les vides par un savoir impropre. Toutes ces générations que l'on jette sur l'océan de l'existence comme un navigateur sans boussole et sous un ciel sans étoiles. Que de naufrages...

 

Pourquoi n'est-il pas mis en place une éducation de la connaissance dans les écoles qui permettrait d'aborder l'existence en rassurant, en réaffirmant notre liberté, en contestant l'étiquette du matérialisme dialectique, médiatique, véritable cadre de fatalités plaqué sur l'histoire qui conditionne la destinée humaine.

 

Mon Dieu, tous ces gens qui ont la tête dans le guidon et qui pédalent en tout sens...

 

Pourquoi ne pas apprendre à nos enfants dès leur plus jeune âge que la personnalité de chacun est d'abord située par les contingences qui l'on fait apparaître à tel moment, dans un temps qu'on limite, soumise au travail sous tel régime économique, social, culturel, exposée à telles pressions des forces de la nature et de la société ; et puis conduire, nos jeunes cervelles à comprendre que l'on peut-être une situation mais aussi une liberté. Que l'une n'empêche en rien l'autre, comme on voudrait nous le faire croire.

 

Que chacun de nous peut-être son propre navigateur et ne pas se perdre dans la découverte de continents nouveaux malgré cette situation apprise, révisée, forcée qui nous permet d'exister dans la société.

 

Apprendre que dans la recherche perpétuelle de vers ce qui est inconnu, l'homme domine son destin et construit son essence, donne un sens à sa situation en la vivant en pleine conscience.

 

Aujourd'hui encore et toujours, les trois quarts de la masse sont totalement conditionnés par leur classe, leur salaire ; on conditionne tout, jusqu'à nos propres pensées, nos sentiments.

Mais qu'est-ce monde avec trop de résignés, quelques révolutionnaires et si peu d'hommes libres.

 

Ce n'est pas l'humanité, ça !

 

Voici un exemple concret qui démontre que tout est lié à notre façon d'apprécier les choses et de les transformer.

 

Si la maladie fond sur moi et fait de moi, un infirme ; je pourrais penser tel qu'on me l'a appris à le faire, qu'il ne dépend pas de moi d'avoir une autre situation que celle de l'infirme, d'agir comme un homme bien portant...Pourtant si au contraire, j'ai appris comment trouver la liberté dans des situations difficiles, je suis libre dans "la façon" dont je construis mon infirmité, selon que je la considère comme une faiblesse ou une force ; propre à développer certaines parties de ma personnalité en friche.

 

Ma liberté absolue de malade n'est pas le pouvoir de supprimer la maladie mais de lui donner une certaine signification et de la vivre d'une certaine façon de manière pour qu'elle ne déborde pas mais qu'au contraire, elle devienne vectrice d'ondes créatrices de valeurs nouvelles.

Valeurs existentielles dont on ne parle pas du tout sur les bancs de l'école.

 

Cette nuit, alors que je ne dormais pas et que je m'emplissais du calme de la nuit de la hauteur d'un balcon, un homme en béquilles est arrivé, trainant son ivresse et ses jambes à moitié mortes sous son corps. Il s'arrêtait souvent pour reprendre son souffle et se parlait à lui même en secouant la tête désespéremment. J'aurai voulu sauter du balcon, l'attraper; le secouer. Lui dire, tu fais quoi là au milieu de la rue en pleine nuit à te malmener ainsi. Pour sûr, il manquait quelques clés à ce pauvre homme.

 

Cette histoire personnelle est malheureusement celle de l'humanité tout entière.

 

L'abêtissement de l'homme qui n'a que pour unique instrument de salut,  une "pseudo" liberté vendue en pac qui limite son emprise au plan de la subjectivité.

 

J'affirme haut et fort, et pourtant simplement que j'accepte de limiter ma propre liberté, de modifier mon propre projet pour ne pas diminuer l'autonomie d'autrui, pour ne pas dégrader sont être en l'aliénant de quelque façon. A cette condition, il est exact que ma philosophie de la liberté peut devenir la direction d'une morale concrète ; celle de ma petite histoire pour aboutir à celle de l'humanité de façon propre et comme on l'aimerait humaine.

 

 

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22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 09:07





 


 


 


Aujourd'hui, j'ai rencontré la joie gratuite...Celle qui implique absence de raison, superfluidité et non pas en tant qu'elle signifie, faveur, communication joyeuse et désintéressée d'un quelque
chose.


 


....


Elle s'est assise en face de moi, sa feuille dans la main. Ses yeux dans les miens.


 


"- Tu m'écoutes" dit-elle


- Oui"


 


Elle penche sa tête, ses cheveux couleurs chataîgne tombent sur son visage. Je ne vois que ses lèvres qui bougent.


Je regarde cet être de moi et d'un autre, ma fille, qui me raconte, qui me dit, qui me lit son écriture merveilleuse, comme un cantique à la gloire des lettres, une réussite miraculeuse
d'expressions et d'idées, expansion d'une immanence divine, générosité d'un dessein providentiel.


 


J'écoute...La joie gratuite s'intalle en moi, doucement mais sûrement.


 


Ma critique supérieurement ingénieuse et perçante se découvre inefficace devant cet artifice littéraire qui se déroule soudain. Elle tente bien un moment de se frayer un chemin avare dans le fil
de l'histoire mais elle est déjà atteinte par l'essence, l'émotion esthétique pure, l'intense et secrète vibration de ce don d'écriture et de sa transmission miraculeuse.


 


Je me laisse, alors, enfin, totale à cette joie gratuite, à cette grâce, cette chance, ce don, cette offrande libérale que me donne cette écrivaine en herbe. Cette volumineuse poétique,
littéraire, qui me frappe joyeusement de sa position qui évolue chaque année et qui prône vers la conception d'une poésie, d'une littérature, engagée, orientée mais aussi d'une forme belle et
d'une durée harmonieuse.


Et


Dans cet élan gracieux d'un plus riche (maintenant elle) qui dispense à l'autre (maintenant moi), un plaisir, une joie exaltante,


 


Une joie gratuite....

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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 23:00

http://ia37.tice.ac-orleans-tours.fr/eva/mission-educ-art-culture/sites/ia37__mission-educ-art-culture/IMG/jpg/affiche_du_film_Pai_Nicki_Caro.jpg

 (à voir absolumment)

 

 

 

 

SHE SEA

 

Est venu octobre avec l'horrible orage

Et du ventre de soie

Est sortie la divine sentinelle

Rejetée de la vague

Comme une maudite

 

L'âme sainte en le garçon qu'on attendait

Par un mauvais sort maudit et fou

Est une fille

 

On a beau se soucier d'elle dans la cour du ciel

Ici-bas, en prise dans les filets de mensonges et de malheurs

Que faire de cette amère moisson ?

Même Dieu qui la fait venir et vivre semble se rendre à l'immense et traite piège de cette terre,

Au malheur d'être née,

Elle fait ses premiers pas

Elle est belle face  au fracas, au labeur de si cruels hivers

Elle est belle dans les aléatoires et provisoires traces où mille choses restent sans réponses.

Ramassant ici et là, les débris des amours éparses,

Cherchant, une source, un ruisseau, un fleuve,

Redoutant de tomber dans l'eau noire d'un lac qui n'est pas la mer.

 

En vain, ses messages de vie aux étoiles mortes

Les hommes brisent leurs épées et désespèrent

Que faire de cette sorcière qui crie que la liberté ne doit pas être seulement accordée aux fils de l'homme.

 

 

 

L'océan, au lointain, gronde. Dans ses fureurs sauvages, il veut la reprendre en son cœur.

L'allonger sur ses plages dorées,

La rendre au ventre protecteur de sa mer.

Cette fille, sa fille de l'eau ballotée d'esclavage en esclavage jusqu'au seuil de la mort

Cherchant l'acte d'amour suprême qui pourrait rejeter le fardeau qui nous pèse :

 

Notre terrestre humanité.

 

 

 

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 23:00





"Viol.on"

un, deux
balance
ton coup de hanche
un, deux
sur le trottoir

Bouton d'or
dans l'espoir
un, deux
rosée du matin
d'une rencontre
avec un joli papillon

"viol.on"

ondine ondule
en rythme
un, deux, tiens, trois

Le Voilà
l'archer en main
caché nul part
le sans regard
le sang coeur
trois, deux, un

Trop tard
sans accord
il joue trop fort







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  • : Les yeux dans les étoiles et en même temps l'univers est et n'est pas. N'oubliez jamais les deux pôles de la Vérité, l'Absolu et le Relatif. Méfiez-vous des demi-vérités...
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